L’invitation, reçue dans une belle enveloppe estampillée d’un sceau de cire, évoquait une soirée charmante, dans un vieux manoir. Éléonore ne se doutait pas que ce bal masquait une effroyable vérité.
***

Nouvelle fantastique

Offerte 

dans le cadre de l'opération Calendrier de l'Avent de L'Ivre-book




Télécharger gratuitement sur L'ivre-Book - Amazon - Fnac

Cet été, j'ai participé à un après-midi fort sympathique 
à Spetémes les Vallons, 
en compagnie de plusieurs auteurs. 

Voici l'article qui en parle. 

Merci aux organisatrice pour ce moment très convivial 
et aux lecteurs qui sont venus nous rencontrer. 

Fin du XIXe siècle, les dirigeables ont conquis le ciel et les robes à dentelles frémissent dans tout Paris. Pourtant les femmes "Charismas" sont encore considérées comme des êtres inférieurs. Rebelle, Jade, métamorphe aux dons extraordinaires, décide alors de fuir la capitale, ravagée par une guerre fratricide entre sangs purs et hybrides. 
A des milliers de kilomètres de là, Ethan parti chercher l'oubli, rencontre un homme qui va changer le cours de sa vie. 
Les destins de Jade et Ethan se trouveront liés d'une étrange façon. 


Sortie prévue le 1 octobre 2016 aux Editions l'ivre-book


Version améliorée du roman broché. 
Bonjour,

Le wk du 24 & 25 septembre 2016 s’est tenu le deuxième salon des Aventuriales de Ménétrol (63) et le moins que l’on puisse dire, c’est MERCI à toute l’équipe organisatrice de ce fabuleux événement.


J'ai eu la chance de revenir en deuxième année, et j'espère recommencer l'an prochain.

Éva Cayeux -  Anna Combelles

Car, si en termes de ventes, je suis moins satisfaite que celles de 2015 (mais comme je ne présentais qu'un seul nouveau roman, et un tome 2 de surcroît...), j'ai rencontré de charmantes personnes, tant pour les lecteurs (merci pour les compliments) que pour les autres auteurs. Je ne vais pas rentrer dans les détails, cela donnerait une liste de noms sans grand intérêt.

Cassandra O'Donnell -  LS ange
& Anna Combelles
Je vais plutôt vous parler d'ambiance (géniale), de magie (des mots et des rencontres), de beauté des illustrations et des cosplays, d'amitié, de longues conversations sur plusieurs sujets, comme l'Histoire...

Anna Combelles - Valérie Simon
Et d'un peu de cette folie douce qui habite les auteurs lors des salons, encore plus ceux centrés sur les littératures de l'imaginaire.




Grim Fantasy


Entre les tables, où maints sourires fleurissaient, ont déambulé de drôles de bêtes et des personnages assez effrayants.






D'autres, plus charmants, comme ce cousin de R2D2, ont eu la gentillesse de faire des Selfies...



Mais sur l'ambiance générale pesait la présence de Sith !



C'est donc armée de mon courage - et de ma petite épée - que j'ai affronté l'un d'eux.

Un grand merci à ce jeune homme pour ce moment rigolo et sa gentillesse.



Voilà, je suis rentrée (épuisée) avec une seule envie, refaire un salon aussi agréable.

Je voudrais terminer par un merci spécial à mon chauffeur et amoureux, pour sa patience. Love.

Un premier livre a obligé Irwam à révéler l'existence du Voile et provoqué de singulières rencontres.

Quels nouveaux périls attendent Irwam et ses amis avec l'apparition de ce second livre, Magus Torrim ?
Qui en est l’auteur et quel est son but ?
Irwam parviendra-t-elle à rester neutre face aux dangers encourus par ses nouveaux amis, alors que des liens de plus en plus forts unissent les êtres des deux mondes ? Qu’adviendra-t-il de sa relation avec Nathan ?
Le Voile s’est ouvert et notre humanité est en danger !


***

Version brochée aux ex éditions L'ivre-book 

ISBN :  978-2-36892-312-2


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Version numérique (uniquement sous kindle)


Mes chers lecteurs, 

 Vous trouverez ci-dessous un extrait de Coeurs Hybrides.


Ce passage ne se trouve pas dans la version Broché des éditions Sudarènes. 

Vous avez le droit de lire, pas de copier : petit rappel !

Article L-122-4 Code de la propriété intellectuelle

Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle
faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayant droit ou ayant cause est illicite. 
Il en est de même pour la traduction, l'adaptation ou la transformation,
l'arrangement ou la reproduction par un art ou un procédé quelconque.


Prologue


 « Aux confins des temps, alors que les hommes commençaient à poser leurs émotions et leur volonté sur des parchemins ou des tablettes encore naïves, ils libérèrent la plus puissante magie, celle de la création.
— C’est pour cela que, partout, des monstres sont apparus sur Terre ? 
Aewle acquiesça. Elle resserra la lourde couverture de laine sur le corps fluet de la fillette avant de poursuivre son histoire. L’enfant la connaissait par cœur, mais ne se lassait pas de l’entendre.
— La crédulité des humains qui recopièrent de fameuses légendes jusque là narrées seulement, avec moult pouvoirs destructeurs accordés aux créatures malignes qui les rendaient quasi invincibles, puisque devenant incroyablement dangereuses, engendra les premiers dégâts. Les scripts annotaient les histoires et dans les marais, les grottes, les gouffres sombres, mais aussi au cœur des arbres des forêts perdues, les coins reculés et inexplorés, des êtres naissaient et grandissaient avant d’envahir le monde humain et de venir s’y abreuver. Or, chaque monstre démontrant sa force, sa puissance, générait une nouvelle chronique que les hommes s’empressaient de relater… 
L’enfant frissonna. Elle chercha un peu de chaleur près du feu, qui brûlait sagement sous la voûte arrondie de la grotte. La fumée montait, aspirée par une crevasse dans la roche. Sur les murs, des dessins racontaient l’histoire des hommes, faisant écho aux mots de la conteuse.
— Les murs des temples Incas ou Mayas, les tombeaux des grands rois de Chine et d‘ailleurs, les parchemins en Égypte, les manuscrits aux enluminures faramineuses que les marchands s’offraient pour montrer leurs richesses, regorgeaient de tous les contes dont les hommes gardaient souvenir. Et dès que l’un d’entre eux, relisant ces mots ainsi donnés à l’histoire, croyait en ces êtres maléfiques, en rêvait et en espérait la véracité, les lieux de création bouillonnaient et répondaient d’une nouvelle entité.
Conscientes du phénomène, mais ne parvenant pas à l’éradiquer, des générations de grands Sorciers œuvrèrent pour enfermer la puissante magie des mots. Ils réussirent à empêcher des monstres sanguinaires…
— Les démons ? coupa l’enfant.
— Oui, ainsi que les ogres, loups-garous, ou autres succubes…
— De nuire aux hommes, récita Irwam, faisant sourire sa mère.
— De nuire aux hommes, reprit-elle d’une voix douce, imposant une écoute silencieuse, en les ramenant au stade de légendes racontées, d’histoires désuètes légèrement impressionnantes, que l’on oubliait dès les écrits refermés. Ils s’obstinèrent à détruire, autant que possible, les milliers d’ouvrages existants, massacrant les soubassements merveilleux, brûlant les textes péremptoires, mais toujours les hommes recommençaient, reproduisaient… réécrivaient.
— Alors, six d’entre eux s’unirent pour créer une protection magique, continua Nawej en venant s’asseoir près d’elles.
Irwam lui prit la main et la glissa sous sa tête. Le jeune Àlwar la laissa agir avant de plonger ses grands yeux noirs au fond de ceux de leur mère. Elle accepta cette demande silencieuse, même si cette partie la rendait toujours triste.
— Des six Sorciers qui œuvrèrent, trois seulement survécurent : Sagesse, Raison et Oubli. L’accouchement avait été terriblement mortel pour les autres.
— Souvenir, Fantaisie, Imprudence, murmura la petite fille.
— Mais, durcit un peu Aewle, la victoire les rendit presque euphoriques, chassant la douleur de la perte d’amis si puissants. Enfin, ils détenaient un mode de contrôle sur ces viles créatures. Ces Sorciers, aux pouvoirs jamais égalés, leur dualité ayant disparu, avaient créé une protection magique, quasi inviolable, derrière laquelle un monde nouveau prit forme, une espèce de toile tendue entre les deux strates. Et, ils en étaient les Gardiens, prévoyants, attentifs, sages. Ils avaient perdu leur essence, leur forme humaine pour donner vie à cet édifice magique, mais avaient gagné une sorte d’immortalité. Ils étaient devenus des esprits, des filaments de puissance…
Ils étaient devenus le Voile.
— Encore ! demanda l’enfant dans un demi-sommeil.
Aewle sourit. Elle posa doucement Irwam qui s’emmitoufla dans sa couverture et referma ses yeux. Nawej parvint à se dégager et attisa le feu. Quelques braises crépitèrent puis le silence retomba. Il s’installa confortablement, sa tête sur un sac et son flanc touchant le dos de sa sœur. Il caressa longuement les longs cheveux noirs.
Aewle reprit sa narration, lentement, sa voix portant au sein de la caverne, créant un doux grondement, berçant légèrement la jeune fille tout en inculquant dans sa mémoire les fondements de leur histoire.
— Les bassins de populations s’extradaient et les humains, leurs frères, cherchaient d’autres contrées, créant sans le savoir des poches de vies monstrueuses partout où ils apportaient leurs traditions. Les légendes se perpétuaient, de bouche à oreille, et les trois Sorciers s’adonnaient à les enfermer, soigneusement. Afin d’éviter les massacres ancestraux, relatés seulement par les longues soirées d’hiver, ils laissèrent les religions gouverner les esprits et mettre dans l’oubli ces traditions orales, les remplaçant par des rites nouveaux. Les démons étaient répudiés, et les anges bénis. Les hommes écoutaient les saintes paroles et craignaient de raviver les vieilles légendes en les contant encore. Certes, au fin fond des coins reculés, on murmurait souvent le soir auprès d’une flambée ces souvenirs pour donner quelques frissons. Mais plus personne n’y portait de crédit. Et la structure surnaturelle jouait merveilleusement son rôle protecteur : barrière infime entre le monde réel et celui des créatures magiques et mystiques.
— Le temps passa, compléta Nawej.
— Et les hommes oublièrent d’écrire ces contes, de narrer pour une sorte d’éternité les monstres de leurs traditions…
— L’oralité a cela de magique qu’elle se perd dans le temps.
— Parfois, pourtant, des enfants dessinaient, munis de bâtons et de leur innocence les histoires entendues auprès des conteurs de village. Et, les Sorciers reprenaient un peu leur office, isolant la créature ainsi mise au monde, la refoulant prestement derrière le Voile.
Elle jeta un bout de bois dans le bûcher, inspira longuement, avant de poursuivre laconiquement sa narration.
— Presque trente siècles s’écoulèrent.
— C’est long ? s’enquit Nawej.
— Oui, même pour nous, reconnut Aewle. Et toujours les trois Sorciers protégeaient les humains de leur folie, de leurs envies. Un jour, un homme créa la machine qui devait, presque, anéantir leurs efforts : l’imprimerie.
Irwam gronda dans son inconscience, faisant sourire son frère.
— Certains mots ont le pouvoir d’effrayer... marmotta-t-il.
— Avec cette machine, les textes purent traverser les distances infinies et mener à tous les hommes ces histoires si longuement enfermées… Avec elle, les monstres renaissaient, redoublants de forces incalculables, puisque les hommes les retrouvaient, les aimaient, les adulaient et cessaient de les craindre ! Un épanchement de créatures, infâmes, nouvelles de surcroît — l’imagination des hommes étant libérée de la gangue des traditions orales — envahit la surface du monde humain… Ruinant ainsi des années de surveillance, créant des régions malsaines. Mais les Sorciers veillaient. Encore. Et la barrière magique protégeait. Il séparait les humains de ces monstres et prédateurs potentiels.
Elle marqua une pause, pensive. Sa voix devint un filet, doux et délicat, imprégné de la conscience douloureuse de ces événements trop lourds.
— Toutefois, devant l’affluence d’écrits, les premiers tourments apparurent. Le Voile se déchira, et laissa passer, à nouveau, ces êtres dans le monde des hommes… créant ainsi de nouvelles légendes, telles celle du Gévaudan, ou bien d’autres, aussi morbides que réelles. Le passage au vingtième siècle accentua ce phénomène.
Face aux inventions des hommes, le Voile montra ses faiblesses, étant basé sur des préceptes moraux que les premiers avaient tôt fait d’ignorer, oubliant d’être sages, et rêvant de victoires sur des monstres qu’ils créaient sans cesse, renouvelant les hordes existantes, ou en imaginant de nouvelles. Et les Sorciers comprirent l’utilité de leurs frères, de leur dualité… car le bien et le mal ne peuvent exister qu’ensemble.
— La Sagesse n’est probante que si l’Imprudence lui fait face, s’amusa Nawej. Le Souvenir rend l’Oubli plus juteux et la Raison n’a de valeur que si la Fantaisie lui en donne.

— Les trois vieux Sorciers virent leurs forces s’amoindrir. Au fil des mots, au fil des histoires, les hommes mettaient à mal le Voile protecteur en inventant de plus en plus de créatures. Ils décidèrent alors de s’unir pour renforcer à jamais cette barrière et la rendre infranchissable, au péril de leur propre existence. Ils créèrent, à l’aide de leurs dernières forces, un ordre particulier : les Gardiens du Voile, à partir de créatures magiques aux idéaux pacifiques. Des êtres purs et puissants, auxquels les trois sorciers donnèrent la capacité de franchir la structure surnaturelle, pour capturer les monstres et les ramener du bon côté. Mais toute chose crée, engendre un double, un négatif. Les êtres du bien virent naître ceux du mal. 





A l'occasion de la sortie de Magus Torrim
j'ai eu la chance d'être interviewé par le site Paroles d'Auteurs

Un extrait : 


Quel est le premier livre que vous vous souvenez avoir lu ?

Les malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur. Je me souviens du livre (objet) et du lieu où je le lisais, chez mes grands-parents. De l’histoire aussi, mais je l’ai relu plus tard, à mes enfants.

Le lien : 





Deuxième édition du salon du livre imaginaire Grésimaginaire


Les 2 et 3 avril 2016








Quelques jours après le magnifique salon Fantastique de Paris, je me devais d'écrire un petit mot et remercier toute l'organisation pour les jolis instants vécus lors de ces trois jours. 

Entre les décors et les Cosplayers présents, les stands qui rivalisaient d'articles superbes, les livres passionnants  - que j'aurais aimé emporter - , les rencontres impromptues de lecteurs et celles de blogueurs attendues sans oublier les surprises, j'ai passé des moments magiques et émouvants. 

J'ai pu, enfin, serrer dans mes bras Zélie, ma chère amie depuis 10 ans. Quel moment ravissant. Car si nous avions échangés longuement par courriel et messages instantanés, la voir réellement devant moi fut des plus charmants. Oh, que j'aurais aimé passer de longues heures à échanger sur la lecture, sur des tas de sujets qui nous passionnent. Dure réalité des salons, les visiteurs se bousculent et le temps file. 

Quelques rencontres qui m'ont touché : une jeune femme (chut, pas de nom) qui connaissait Coeurs Hybrides, pour l'avoir acheté par l'intermédiaire d'une amie commune ; Gabielle Viszs, adorable auteure et blogueuse avec qui j'ai pu discuter un bon moment ; Sia, Mariejuliet et BlackWolf du site Livr@ddict ; Tania, une lectrice chanceuse (^^) qui me suit depuis longtemps, Wendy, une nouvelle lectrice qui suit la page les Romans de nanet ; Callie (enfin !) et Rose Darcy. 

J'ai, malheureusement raté deux personnes, dans le flots des visiteurs (plus de 15000 sur les trois jours). Une autre fois ! 

J'ai peu acheté, les valises étaient déjà pleines, et nous avons déjà eu beaucoup de mal à tout porter... dans un fameux périple vers Paris. J'ai vu des tas de livres, comme indiqué plus haut, qui m'ont titillé, mais, sagement, je n'en ai pris que deux que vous retrouverez sur le blog les mots de nanet. Un grand merci à James Tollum et Anthelme Hauchecorne pour leurs dédicaces.

Je ne suis pas très douée pour les photos, aussi je vous invite à consulter celles publiées sur la page du salon où des artistes photographes, comme regards, ont posté les leurs. Je ne peux vous présenter que celles de notre stand, prises par Galaxy Geek (le vendredi, jour où nous avons claqué des dents, tant il faisait froid)

Barbara Denoyelle, Dee L. Aniballe, anna Combelles

La page se referme et les souvenirs resteront longtemps gravés, ce fut un week-end riche en émotion. 

Je termine cet article en remerciant David, mon éditeur chez Sudarènes, sans qui ce salon n'aurait pu se faire, Barbara que nous avons converti au Cosplay. Enfin, à Dee L. Aniballe, à Ti-chou et ses amis, qui nous ont si gentiment hébergées, ainsi que deux personnes qui nous ont offert une magnifique soirée.
Le WK prochain, je serais à Paris

Pour le salon Fantastique



sur le stand des éditions Sudarènes 

Avec Dee L Aniballe et Barbara Denoyelle







Syr Ynis


Nathan, jeune lecteur passionné, est loin d’imaginer que derrière un Voile protecteur, les personnages qu’il crée naissent et vivent de nouvelles aventures.

Pourtant, lorsqu’il rencontre Cassiodore et Léandre, les héros de sa dernière lecture, sa réalité devient presque aussi belle que les histoires qu’il apprécie.

Mais, Irwam, gardienne du Voile, acceptera-t-elle de le laisser vivre et créer d’autres mondes ?

Une plume fluide et imagée qui nous accompagne dans le bel univers d’Anna Combelles.



FICHE TECHNIQUE 

Support Numérique
Collection : Imaginarium Fantasy
ISBN : 9782368922262
Publication : 20/01/2016
Nb de pages (environ) : 387


Cycle : La complainte d'Irwan

La série comporte deux tomes.

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